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Par lastirokoi dans page 1 le 12 Décembre 2008 à 19:36...tellement de couleurs dans ce coin triste de Normandie où tu m’avais entraînée à ta suite, après la mort du général, ton époux. Chère Caroline, ma sœur, tu me manques atrocement. Tu arrivais de nulle part ; fille d’une émigrée de la révolution, on t’a retrouvé, tu avais 2...